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Mario03

Les nouvelles technologies en compétition

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Porsche : L’hybride, ça marche !

Mardi 09 novembre - 09h33




Porsche prouve que la technologie hybride peut être efficace en compétition. ©️ Porsche




Si elle concourrait hors-classement, la Porsche GT3 R Hybrid n’est pas passée inaperçue à Zhuhaï. Sixième du général, elle s’est permis le luxe de devancer l’ensemble des GT présentes.

Comme à Petit Le Mans, la Porsche GT3 R Hybrid a pris le départ des 1000 km de Zhuhaï sans pouvoir prétendre à un quelconque accessit final, les voitures mues par une telle technologie ne correspondant pas au règlement actuel de l’ACO. Mais le club organisateur des 24 Heures du Mans aurait bien eu tort de se passer d’un tel engin pour les deux dernières manches de l’Intercontinental Le Mans Cup. C’est la raison pour laquelle décision fut prise de convier la GT3 R Hybrid à la fête.

À l’occasion de l’étape chinoise de l’ILMC, l’auto fut confiée aux doubles champions sortants ALMS en GT2, à savoir l’Américain Patrick Long et l’Allemand Jorg Bergmeister. Dès les essais la GT3 R Hybrid se montra d’une efficacité redoutable. Capable de boucler les 4,319 km du tracé chinois (qui lui convient fort bien il faut l’avouer) en 1’33’’789, elle ne fut devancée que par une seule voiture de la catégorie Grand Tourisme : Une Lamborghini Murciélago…GT1.

À l’issue d’une course durant laquelle elle fit preuve d’une fiabilité exemplaire, l’arme du constructeur de Zuffenhausen passa sous le drapeau à damier en sixième position, bouclant trois tours de plus que la BMW M3 E92 lauréate du GT2.

« La première course en Chine de la 911 GT3 R Hybrid a été un succès complet, jubile Hartmut Kristen, le Patron de Porsche Motorsport. La voiture a rallié l’arrivée sans connaitre le moindre souci technique. Les excellents arrêts aux stands de l’équipe et la formidable performance des pilotes ont également contribué à ce succès. Le travail de développement sur le système hybride que nous avons mené depuis Road Atlanta a porté ses fruits. Aujourd’hui, nous avons montré de manière assez impressionnante le potentiel de cette technologie. Le résultat est une motivation décuplée pour continuer à travailler sur ce projet. Ce n’était assurément pas la dernière course de la 911 GT3 R Hybrid ».

Quant aux pilotes, ils ont terminé la course avec le sourire aux lèvres, ravis d’avoir eu l’opportunité de piloter en course un tel engin.

« Notre voiture a parfaitement fonctionné du premier au dernier tour, affirme Bergmeister. Ce fut un nouveau super test pour le système hybride dans des conditions réelles de course, avec la meilleure conclusion imaginable ».

« Nous avions la GT la plus efficace et la plus rapide, poursuit Pat Long. C’est ça la Porsche Intelligent Performance ».

Reste à savoir quand est ce qu’une voiture équipée d’une telle technologie viendra garnir la grille de départ des 24 Heures du Mans. La Porsche 911 GT 3 Hybrid viendra-t-elle occuper le fameux 56e stand du tracé manceau en juin prochain ? À moins qu’Audi ou Peugeot ne se laisser tenter par l’aventure ? Un challenge intéressant, qui prouverait une fois de plus que l’endurance est une vraie vitrine technologique, comme le répètent souvent les dirigeants de l’ACO…

Retrouvez le compte-rendu complet des 1000 km de Zhuhaï dans votre magazine AUTOhebdo en kiosques dès demain, et l’essai exclusif de la Porsche 911 GT3 R Hybrid dans le [url=http://Retrouvez le compte-rendu complet des 1000 km de Zhuhaï dans votre magazine AUTOhebdo en kiosques dès demain, et l’essai exclusif de la Porsche 911 GT3 R Hybrid dans le hors-série Porsche AUTOhebdo, en vente actuellement.]hors-série Porsche AUTOhebdo[/url], en vente actuellement.



http://www.autohebdo.fr/endurance/lms/article-27-6-5470/091110-porsche-l-hybride-ca-marche-Thibaut Villemant

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elle avait déjà mené les 24 heures du Nurburg 2010 pendant des heures C.H.

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moi je suis totalement contre ce genre de bagnole. on finira par des 24h du mans "Scalextrix" 100 % 20 volts. Ce n'est pas ca la course auto!

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S'il est vrai qu'on peut applaudir cette avancée technologique, il n'en demeure pas moins , comme le sous-entend Ericerac, qu'on se dirige vers du " scalextrix " sans compter le mazout de plus en plus présent, où se situe donc l'époque où on entendait les merveilleuses symphonies des V12 Ferrari et Matra !!!

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Pas d'accord avec vous les amis, car je peux vous assurer, comme c'est vraiment une auto de course a ne mettre que dans des mains expertes, la conduite, la vitesse le bruit sont comparable au reste des plateaux ou elle participe. Avons nous discuter lorsque nous sommes passés de roues en bois a celle en acier, lorsque les turbos sont arrivés, etc...??? Il est certain que cela ne ressemble pas aux monstres de RAF ou aux Mosler, mais c'est vraiment une caisse de course. Souvenez vous du noms des SCALEXTRIC, je crois me souvenir de CARRERA, ce n'est pas sans raison. Maintenant chacun en pense ce qu'il veux C.H.

Et si vous écoutez jusqu'au bout le sons est vraiment celui d'une porsche, ne pas oublier qu'il y a tjrs un moteur "normal" dans l'auto.

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Je pense que tu n'as pas bien saisi le sens de ma phrase Serge. Comme tu le dis si bien " il y a toujours un moteur normal" dans l'auto, ....mais jusque quand? C'est pour quoi dans ma phrase, je dis "on finira", c'est a dire dans quelques années, avec des moteurs faisant le bruit d'un rasoir électrique.

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Même en cas de moteur full électrique il sera toujours bien possible de leur faire faire un bruit sport. L'industrie doit en installer sur leur voiture électrique alors pourquoi pas une version sport !

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il y a quelques semaines j'ai assisté à une manche de moto cross électrique, surprenant car sans bruit ou presque... les perfomances sont loin des mx1,mx2 quand même.

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Vous vous souvenez d'une incentive où on pouvait rester plus longtemps pour des essais motos électriques ?? Ben c'était négatif pour grimper le raidillon ! Comme des escargots !! Et pour les voitures.....?????? Quelles seront leurs performances pour monter ce raidillon ou tout autre obstacle, d'ailleurs ? Il y a d'autres solutions que "l'électrique "...surtout pour les performances . N'oublions pas qu 'on parle de course de vitesse ou d'endurance et donc de record, d'exploit etc... et pas pour les voir se traîner. Ce qui aurait un impact destructeur sur le déjà maigre public qui soutient ce sport.

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qu'ils aillent tous se faire f...tre avec leur saloperie de bagnoles téléguidées à piles électriques, toutes ces merdes technologiques ne vaudront jamais un VRAI V8 made in ONCLE SAM !!!



les cochonneries électriques c'est bon pour les terroristes de chez sourdine !


je me doute que mes paroles vont êtres quelque peu malmenées car je ne reste pas très poli mais je ne peux m'empêcher de constater que la perte d'un bruit rageur qui émane d'une machine de course fait s'enfuir le public des bords de piste.
sinon pourquoi se lamenterai-t-on de n'avoir que du GT3 et GT4 aux 24H 2011 ???
pourquoi autant de gens (moi compris) ont déserté le rallye à la mort du groupe B ???

je ne critique pas l'avancée technologique mais qu'elle reste sur nos nationales et qu'elle laisse le plaisir arpenter nos circuits !

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Oui et non, cela reste du domaine de l'évolution des chôses.
Dites moi, préférez vous faire des photos en ARGENTIQUE ou DIGITAL et pourtant il y dix ans à peine...Nous n'avions pas le choix, de même, il y a dix pour nos PC, c'était la préhistoire avec dos et binaires et maintenant???? Pour notre courrier, la Poste, maintenant un mail, etc.... Maintenant des moteurs 1300 cc diesel turbo etc, avec les performances de NOS vieilles 1800 essence d'il y 20 ans.
C'est bien compliqué, mais avons nous le choix, si ce n'est de marquer, notre nostalgique désaccord. No

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d'accord avec toi pour la technologie domestique, ça nous facilite beaucoup de choses !
mais pour certaines choses la modernité n'a pas apporté la sérénité...
aucun cd ou MP3 ne possède la qualité de nos vieux vinyles et des amplis qui couvraient les basses, trebble et surtout MEDIUM qui n'existent plus aujourd'hui et qui rendaient le son si velouté et chaleureux...
on ne me fera pas croire qu'un gamin de 2010 est plus heureux seul avec sa console que nous à leur age quand on faisait les 400 coups entre copains et qu'on rentrais le soir venu sale et fatigué mais la tête pleine de nos aventures...

soyons honnêtes, quand c'était les 24h avec des BORA TDI et des PEUGEOT 306, francorchamps ne m'intéressait plus du tout, je voulais voir des VIPER et autres machines de guerre qui faisaient hurler les décibels...

tu ne vas pas au cinéma pour voir thalassa ou combien ça coute, tu vas au cinéma voir STAR WARS, AVATAR ou HARRY POTTER...

les gens veulent du spectaculaire, du bruit et des vibrations, veulent se coucher le soir avec des images plein la tête et les oreilles qui sifflent, pour le moderne hyper-méga-shadé il y a le salon de la technologie !

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Tchief a écrit:
Oui et non, cela reste du domaine de l'évolution des chôses.
Dites moi, préférez vous faire des photos en ARGENTIQUE ou DIGITAL et pourtant il y dix ans à peine...Nous n'avions pas le choix, de même, il y a dix pour nos PC, c'était la préhistoire avec dos et binaires et maintenant???? Pour notre courrier, la Poste, maintenant un mail, etc.... Maintenant des moteurs 1300 cc diesel turbo etc, avec les performances de NOS vieilles 1800 essence d'il y 20 ans.
C'est bien compliqué, mais avons nous le choix, si ce n'est de marquer, notre nostalgique désaccord. No


Ben oui,....

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Prenons "le problème" a l'envers, qui ne possède pas de portable, et utilise toujours la vieille tour qui faisait notre bonheur, qui n'a pas de "senséo" et fait tjrs son café, avec un filtre en papier, qui n'a pas de lecteur mp3 mp4 hd ou autres et utilise tjrs une Lenco 75, qui utilise tjrs une "chignolle" a main pour faire des trous ou viser et ne possède pas une viseuse accus, qui simplement se chauffe tjrs avec un poêle à charbon????????????? Nous ne tomberons pas d'accord et ces très bien ainsi...
PS j'aime aussi Falcon Mustang Cobra et autres monstres d'antan, mais la vies est ainsi nous devrons nous y faire.
Tiens une remarque vous connaissez les performances des Tesla??? Elles sont surprenantes, et seulement a leurs balbutiements Rolling Eyes

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Oui, bien sûr Tchief, les performances des Tesla sont vraiment surprenantes, l'avenir c'est certain plus pour nous je pense mais pour les prochaines générations ! Un problème toutefois que je me suis déjà posé, il faudra qu'ils équipent ces voitures de fameux claxons car les pauvres piétons ne les entendront plus arriver, sans compter que la population vieillit, que la sourdité sera de plus en plus répandue, à méditer !!!

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Boxstphil a écrit:
l'avenir c'est certain plus pour nous je pense mais pour les prochaines générations ! Un problème toutefois que je me suis déjà posé, il faudra qu'ils équipent ces voitures de fameux claxons car les pauvres piétons ne les entendront plus arriver, sans compter que la population vieillit, que la sourdité sera de plus en plus répandue, à méditer !!!


http://www.leblogauto.com/2010/11/mia-electric-la-marque-se-felicite-dune-forte-demande.html

L'avenir est déjà là .....

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Ca va être gai de partir en vacance : 2h pour faire "le plein" , ce sont les restoroutes qui doivent se frotter les mains............... C.H.

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il est évident que l'on ne peut pas toujours tomber d'accord sur tout et c'est très bien ainsi !
la technologie, j'en profite largement pour la photo et je ne laisserais pas tomber mon lecteur blu-ray ni mon disque dur multimédia pour revenir aux K7 VHS...

mais en ce qui concerne le sport auto je suis certain d'avoir en grande partie raison...
faites chez vous une simple expérience, mettez un grand prix de F1 mais coupez le son, vous me direz si c'est aussi génial que ça !!!

de plus, j'ai eu l'occasion de voir une compétition de voitures hybrides à Copenhague, c'était chiant à mourir, c'est bien simple, la plupart des spectateurs sont partis après 10 min...
les gens se regardaient l'air idiot de se dire que faisons nous içi ???


soyons totalement honnêtes, le sport automobile est une activité polluante et superflue qui ne sert pas l'intérêt de l'humanité mais c'est un exutoire pour des millions de gens avide de sensations fortes, ça remplace un peu les gladiateurs d'autrefois, il en va de même pour tous les sports de contact, c'est inutile et barbare mais on en a besoin !

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Je suis bien d'accord avec vous, mais nous n'empêcherons pas le "progrès" d'avancer.
Nous avons tous hurlés chaque fois, qu'il fût annoncé que des modification seraient faites au Circuit de Spa, et qu'avons nous changé, rien les changements ont été fais. Etc, etc....

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Vous me faites bien rire.... Il y en a quelques uns,qui,il y a quelques années,ne voulaient pas entendre parler des "anciennes voitures" des "vieux modeles" des "ancetres" parce que "ca " a plus sa place dans un musée qu'en piste....

En attendant,QUI fourni des plateaux dignes de ce nom a chaque épreuve,QUI amène des 1000 pilotes et des 650 bagnoles ,QUI arrive a captiver les foules avec des bagnoles qui "bougent" et qui font encore vibrer a chaque passage? Le Belcar? Le BTCS? La formule 1?

Ben nenni hein m'fi .... Ce sont ces "ferrés " qui traversent le channel avec leurs vieilles caisses qui,même si certaines tiennent encore ensemble a grands renforts de scotch (je parle de bandes adhésives,pas de boissons alcoolisées...) mais qui "enroulent" les courbes a grands renforts de travers et de glissades,et qui amusent le public autant qu'ils s'amusent eux mêmes,ce sont les "vintages" ou considérés comme tels,qui ravissent jeunes et vieux....

Alors quand on aura trouvé des caisses qui feront vibrer les gens tant par leurs manieres d'enrouler les courbes que par celle de faire des tiraillements dans les tripes en entendant le bruit de leurs moulins,et que tout cela aie 2 ou 3 ans de technologie,je dirais "vive le progres" aussi.

en attendant,laisser moi rever que la course automobile est encore affaire de bruits,d'odeurs et de souvenirs aux yeux et aux oreilles...et pas a des tchiniss électriques qui n'avancent pas et qu'on entend meme pas arriver !

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Je ne crois pas que nous empêcheront le futur , alors faisons comme Marchal ; profitons encore et encore, tant qu'on pourras.

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TESLA : l'électrique à la Course des Champions!



La "Race of Champions" est une course internationale qui existe depuis 1988. Elle se dispute sous la forme d'une «super-spéciale», opposant deux pilotes sur deux pistes parallèles, qui forment un circuit continu.

Les deux pilotes parcourent ainsi la même distance aux mêmes endroits, mais pas aux mêmes moments. Lors d'un duel, le vainqueur est celui qui a bouclé le circuit empruntant les deux pistes, le plus rapidement possible.

Cette Course s'est déroulée cette année à Dusseldorf en Allemagne et a accueilli entre autres, Sebastian Vettel et Michael Schumacher qui ont piloté 4 roadsters pendant leurs entraînements pour apprendre le parcours de la course.

L'ex-pilote de Formule 1 Erik Comas ainsi que celui qui a gagné 5 fois le Belgium Touring, Pierre-Yves Rosoux, se sont retrouvés face à face dans les premiers véhicules électriques jamais utilisés dans cette course.

Fondateur de ROC et Président d'IMP, Fredrik Johnsson a célébré le 100ème roadster allemand en tendant officiellement les clefs à Lennart Hennig devant des centaines de fans de sport automobile. De son second Roadster dédicacé par Sebastian Vettel, Henning déclare: "Je suis fier de participer à une étape importante dans l'histoire de la mobilité électrique et que le nouveau champion du monde de F1 dédicace mon nouveau Roadster, c'est encore mieux".



Source : http://www.lemagauto.fr/TESLA-l-electrique-a-la-Course-des-Champions_a3974.html

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Une course électrique dans Paris ?

Le fantasme d’une course automobile dans les rues de Paris est toujours bien présent dans l’esprit de certains acteurs du monde du sport auto, et ce sont bien des voitures électriques qui pourraient investir la capitale. Max Mamers, organisateur du Trophée Andros et du Trophée Andros Electrique, première épreuve 100 % électrique, espère pouvoir mener à bien ce projet. « Je travaille d’arrache pied pour voir très bientôt nos voitures de courses électriques s’affronter dans les rues de Paris, a-t-il confié à AUTOhebdo.fr. Pourquoi pas à l’arrivée du Tour de France ?! Ce n’est encore qu’à l’état de projet, mais sait-on jamais… »

Origine : http://www.autohebdo.fr/france/circuit/breve-30-18-12033/041210-une-course-electrique-dans-paris-

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Le sport auto zéro émission fait entendre sa voix à Cancun

Au sommet de Cancun, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent, à part un village du changement climatique et l'exposition de la Nissan Leaf, de la Mini E, de la Ford hybride Fusion et de modèles électriques de VW et de Volvo. Par contre, on pourra voir une course entre une Formule 3 électrique et une F3 à essence. Elle aura lieu aujourd'hui, demain et encore mercredi. L'objectif est de montrer que la F3 électrique (580 kg, 150 kW, deux moteurs électriques, un batterie lithium-ion, 260 km/h en vitesse de pointe) de Formulec, l'EF01, est aussi performante qu'une monoplace classique, et sans consommer une goutte d'essence. La voiture, qui est née d'un projet piloté par le groupe français Segula Technologies, et auquel ont participé Saft, Michelin et Siemens, avait déjà été présentée au Mondial de l'Automobile. Pour l'anecdote, le châssis est celui de l'ancienne écurie de F1 Brawn GP, devenue entre temps l'écurie Mercedes-Petronas.

Voir la vidéo :

http://voituredufutur.blogspot.com/2010/12/le-sport-auto-zero-emission-fait.html

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La GreenGT 300KW présentée à Jean Todt.



Ce fut par des températures nettement en dessous de zéro que les pneus slicks de la GreenGT 300KW foulèrent le bitume synthétique du Rolex Learning Center de L’EPFL. La GreenGT 300KW, nouvelle version du fameux prototype Suisse tout électrique, répondit ainsi présent à l’invitation de Académie Internationale des Sports et des Technologies (AISTS) basée sur le campus de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL).
Après donc un première exposition au Rolex Learning Center, la GreenGT fut exposée devant la salle de séminaire de l’AISTS où Monsieur Jean Todt, Président de la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) allait donner un cours aux participants de l’Executive MBA de l’AISTS.


Jean Todt profita de sa présence sur le campus pour se faire expliquer les principes et subtilités du prototype GreenGT 300KW par Jean-François Weber, l’un des fondateurs de GreenGT. Monsieur Todt apprécia d’autant plus qu’un de ses axes de travail majeur à la FIA est la mise en pratique de technologies vertes et durables dans le sport automobile. En effet, vu ce contexte, il paraît difficile de trouver un meilleur exemple que la GreenGT 300KW.
Coté technique, voici les caractéristiques principales, telles que décrites par Monsieur Weber.
« Le prototype GreenGT 300KW présente une augmentation de puissance de 50% par rapport au premier prototype GreenGT Sprint, que la presse a vu rouler au Castellet. Les batteries sont également améliorées en termes de stockage et délivrance d’énergie. Elles sont aujourd’hui logées dans des caissons antidéflagrants en composites de technologies aérospatiales et pourvues d’un système d’extincteur spécifique, ce qui est un must incontournable pour une utilisation sur circuit. »
Et de continuer :
« La transmission de la GreenGT 300KW est une évolution très conséquente de la version de la GreenGT Sprint. Basée toujours sur les mêmes principes électromécaniques brevetés par GreenGT, elle permet une exploitation optimisée aux grandes vitesses, tout en gagnant un poids substantiel par rapport à la version précédente. La GreenGT 300KW constitue un nouveau bond technologique dans l’histoire de l’automobile de compétition. »
Pour conclure :
« Nous sommes aujourd’hui quatre associés, tous aussi passionnés que convaincus par l’aventure de la compétition électrique. Forts de plus de deux années d’expérience dans le secteur, nous gardons une avance par rapport à nos concurrents, qu’il ne faut pas sous-estimer. En attendant, Peugeot Citroën Automobiles nous a fait confiance et nous avons ainsi réalisés le groupe motopropulseur avec interface homme-machine et système d’alimentation et de gestion énergétique de la Citroën Survolt. »
Et de terminer :
« GreenGT 300KW va prochainement faire ses premiers essais avec l’assistance de l’équipe JMB Racing, unique structure professionnelle qui possède à l’heure actuelle une réelle expérience de l’exploitation d’une voiture de course électrique. Des roulages en public sont en cours de discussion. Nous sommes convaincus que la GreenGT 300KW va en surprendre plus d’un !»



Source : http://www.leblogauto.com/2010/12/la-greengt-300kw-presentee-a-jean-todt.html

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Les batteries Li-ion au cœur du Trophée Andros Electrique



Le 09 décembre 2010 par Jean-François Preveraud

Valider les technologies du véhicule électrique de demain en s'amusant.
DR



Grâce à la haute technologie déployée par Saft pour développer des batteries lithium-ion spécifiques, les voitures électriques qui courent ce Trophée sur glace ont plus que doublé leurs performances en deux ans. Des perspectives intéressantes pour les futures voitures électriques grand public.
Le Trophée Andros Électrique est la 1ère course automobile mondiale haute performance zéro émission, zéro nuisance sonore. Grâce aux batteries lithium-ion développées spécifiquement par le fabricant français Saft, les voitures qui y participent, conçues et mises au point par Exagon Engineering, ont considérablement amélioré leur puissance, leur fiabilité et leur autonomie en deux ans.

Il leur est maintenant possible de parcourir 17 fois un circuit de 2,5 km contre 7 fois il y a deux ans. L’autonomie est aujourd’hui de 35 mn (contre 10 mn il y a deux ans) pour une vitesse constante de 150 km/h sur la glace et compte tenu du format court des séries électriques, une partie de l’énergie embarquée est toujours disponible à l’arrivée.

« Le choix de Saft pour équiper les Andros Cars a été une évidence. C’est le leader mondial de la batterie haute technologie et c’est une entreprise française. Malgré des conditions climatiques très difficiles sur le Trophée Andros, on a tout de suite capté le potentiel de performance et de fiabilité que leurs batteries allaient offrir à nos voitures électriques. Aujourd’hui je peux dire que compte tenu des résultats obtenus, j’ai fait confiance aux bonnes équipes », estime Max Mamers, organisateur du Trophée Andros Électrique.

Un banc d’essais performant et ludique

Le très fort niveau d’exigence de la compétition, ainsi que les conditions extrêmes du Trophée Andros – froid ; pluie ; glace ; neige ; humidité - ont conduit Saft à développer la batterie ‘‘idéale’’ pour cette application. Ainsi, chaque Andros Car est alimentée par une batterie lithium-ion de 300 V, 24 kWh et 277 kg pour un poids total du véhicule de 800 kg. Sa puissance en vitesse de pointe pendant 30 secondes est de 130 kW (176 CV). Pour les besoins du Trophée Andros Électrique, 25 mn de charge suffisent à chaque manche.

Ces batteries lithium-ion auraient une durée de vie supérieure à 10 ans, ce qui, selon Saft, les positionnerait parmi les plus performantes au monde.

Pour Saft, le Trophée Andros Électrique, au-delà du défi sportif, est un défi technologique et industriel de premier plan, ainsi qu’un véritable laboratoire d’essais. En effet, la course automobile a souvent validé en amont les innovations techniques de la voiture grand public. « Quand Max Mamers est venu nous proposer d’équiper les voitures électriques du Trophée Andros, afin d’améliorer leurs performances, nous avons accepté immédiatement sa proposition. C’était pour nous l’opportunité de valider les performances de nos batteries lithium-ion dans des conditions extrêmes en s’appuyant sur notre savoir-faire et notre expertise », explique John Searle, Président du directoire de Saft.

« Un projet passionnant qui s’inscrit dans une dynamique d’innovation technologique au cœur des nouveaux enjeux de l’industrie automobile pour des véhicules à énergie propre ».

Jean-François Prevéraud

http://www.industrie.com/it/automobile/les-batteries-li-ion-au-cur-du-trophee-andros-electrique.10645

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J'aime bien le côté chauvins de ces chers grands français qui ont aussi, certainement, inventés la voiture électrique.

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C'était plutot "contente pendant 30 minutes"! Et quand on aura des voitures electriques en course, ce sera les 144h de Francorchamps, le temps de recharger ces maudits engins? Vive le moteur dans sa version actuelle.

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Ericerac a écrit:
C'était plutot "contente pendant 30 minutes"! Et quand on aura des voitures electriques en course, ce sera les 144h de Francorchamps, le temps de recharger ces maudits engins? Vive le moteur dans sa version actuelle.


Certes, mais il est certain que les plus jeunes membres de ce forum conduiront un jour des voitures qui fonctionneront sur un autre principe que celui du moteur à explosion.

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C'est vrai qu'il faudra évoluer. Chacun sa nostalgie.
Soyons optismistes, les constructeurs trouveront bien quelque chose pour les rendre attrayantes.
Au pire, nos oreilles nous diront merci.

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La formule 1 se met au développement durable pour 2013 : Insolite
par Yes
C'est donc un véritable effort que proposent les dirigeants du sport automobile … Et qu'en sera-t-il des performances de ces bolides des circuits ? Eh bien, il semblerait qu'elles se maintiennent ! On n'arrête pas le progrès … ...

Insolite - http://insolite.skynetblogs.be/

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Le sport automobile propulsé à l’électrique


Longtemps considéré comme peu écologique le sport automobile se rachète une conduite
Suite à la Conférence de Cancún sur le climat, un nouveau challenge automobile exclusivement dédié aux Formulec va voir le jour. Les Formulec, équivalent des Formule 3 mais électriques, s'affronteront autour de dix compétitions par an sur les cinq continents d’ici 2012. Allcarselectric présente le premier bolide dévoilé à Cancún : la Formulec EF01, capable d’atteindre les 260km/h et franchir le cap des 100 km/h en moins de 3 secondes. Cependant, ce challenge Formulec sera composé de sprints assez courts à cause de l’autonomie d’environ 25 minutes des voitures.

Les innovations dans le sport automobile ne se résument pas aux quatre roues comme en témoigne la superbike électrique de la Team Swigz racing de Chip Yates.
[url=http://gas2.org/2011/01/09/swigz-electric-superbike-podiums-against-gas-bikes/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A IM-gas2 %28Gas 2.0%29&utm_content=Google Reader]Gas2[/url] décrit le parcours de cet engin contre des motos classiques, à l’Auto Club Speedway, circuit utilisé en championnat NASCAR (Association Nationale de Courses d'Automobiles de Série). </EM> C’est un succès pour l’écurie qui place son pilote en 2ème et 3ème position. Rien d’étonnant au vu des performances affichées : 194 chevaux et 40 mkg de couple instantané ! De plus, la moto incorpore la technologie KERS (Kinetic Energy Recovery System) qui permet de récupérer l’énergie cinétique liée au freinage et de le réinjecter dans l’accélération.
http://www.mobilite-durable.org/actualites/vu-sur-le-web/le-sport-automobile-propulse-a-l-electrique.html

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Jean Todt voit l’avenir du sport auto en vert

Automobilisme | Hier à Lausanne, le patron de la FIA s’est exprimé sur sa première année de présidence



Mario Luini | 19.01.2011 | 01:53

Le Français Jean Todt était de passage à Lausanne hier. Le président de la FIA était invité par l’Académie internationale des sciences et techniques du sport à s’exprimer sur «les nombreux défis d’un leadership exemplaire». Interview.
Quel bilan tirez-vous de votre première année de présidence?
Satisfait, je ne le suis jamais. Je devais d’abord comprendre le fonctionnement d’une structure compliquée touchant à la mobilité générale (sécurité routière, environnement) et au sport, puis entamer une certaine réorganisation. Une vingtaine de commissions ont été revues et le travail avance de manière positive. J’aime respecter ce que j’ai promis, mais c’est à la fin de mon mandat que je répondrai.
La «fuite» du championnat du monde de F1 vers l’Asie n’est-elle pas contradictoire avec l’abaissement des coûts préconisés par la FIA?
Davantage de GP, c’est davantage de recettes pour les écuries. Et certaines limitations réglementaires ont déjà réduit les budgets. En quelques années, on est passé de trois moteurs par week-end de GP à huit unités pour toute une saison de bientôt 20 GP. Mais il reste du travail, l’interdiction des ravitaillements en course et celle des essais privés n’ont pas apporté toutes les réponses attendues.
Comment voyez-vous l’avenir du sport automobile?
C’est une vision de ce qu’il devra être en 2020 ou 2030. Il est important d’instaurer une plus grande synergie entre le développement durable, les nouvelles technologies et la compétition. On parle beaucoup de moteurs électriques, à hydrogène ou hybrides. Nous irons tout le temps dans ce sens.

http://www.tdg.ch/node/302423

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Ford fait communiquer les voitures via WiFi
Non, il ne s’agit pas de chat Facebook mains libres avec la conductrice de la voiture d’à côté au feu rouge. La communication entre véhicules est un sujet majeur de la recherche pour la sécurité routière, et les choses dans le domaine avancent à pas de géant. A l’occasion de l’ouverture du Washington Auto Show, Ford vient de démontrer une implémentation basée sur la technologie WiFi qui pourrait devenir un équipement de sécurité obligatoire rapidement.

L’idée est que chaque voiture, agissant comme point d’accès WIFI, soit capable de dialoguer avec les voitures proches équipées de la même façon. Le prototype de Ford fonctionne dans un rayon de 270 mètres avec 10 mises à jour du signal par seconde. Cela permet à chaque véhicule d’être averti de la position, de la direction et de la vitesse des autres véhicules dans les environs immédiats, dans toutes les directions, même sans visibilité, de prédire les risques de collision ou de ralentissement et d’en avertir le conducteur. Un radar, qui coûte beaucoup plus cher, n’est pas omnidirectionnel et ne fonctionne qu’en vue directe. Selon une étude de la NHTSA, 80% des accidents non dûs à l’alcool pourraient être évités ainsi et que cela permettrait en outre éliminer un grand nombre de ralentissements et d’économiser une quantité non négligeable de carburant. L’enjeu est donc d’importance.

Ford et les autres constructeurs présents aux Etats-Unis ont formé un consortium pour mettre en place des standards d’intercommunication. L’avantage majeur de l’utilisation de la WiFi est le faible coût et la disponibilité des composants nécessaires, qui pourraient être déployés très rapidement pour un surcoût par véhicule minimal une fois les standards en place. La NHTSA doit statuer en 2013 sur la mise en place obligatoire à terme d’un tel système en fonction du succès des travaux en cours.

Il reste cependant un certain nombre de problèmes à résoudre. D’abord, avant d’en arriver aux résultats prédits il faudrait que tous les véhicules soient équipés, ce qui prendra du temps à cause du parc existant. Par ailleurs, il faut pouvoir s’assurer que les données émises par chaque véhicule, identification, position, vitesse, etc, ne puissent pas être détournées ou altérées. Il faut aussi déterminer le statut de ces données. Sont-elles susceptibles d’être exploitées par les autorités, ou restent-elles limitées à la communication entre voitures ? Doivent-elles pouvoir être croisées aux autres informations concernant le possesseur du véhicule ou être absolument anonymes ? Il reste également des problèmes techniques et des tests à grande échelle (en particulier dans un trafic dense) à valider mais ca n’est plus qu’une question de temps. Encore un pas de plus vers la fusion de l’automobile et de l’ordinateur…

Source : Ford et Washington Post

Lire également:
Projet SARTRE : une vidéo dévoile partiellement l’essai grandeur nature

[There is a video that cannot be displayed in this feed. Visit the blog entry to see the video.]

Source
http://www.sportscafe.fr/ford-fait-communiquer-les-voitures-via-wifi/

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Pegasus Racing : démarche alternative… pour courir en continu!



Présentation du projet de prototype 100% électrique
Après avoir annoncé son programme sportif en Le Mans Series, et sa candidature à une deuxième participation aux 24 Heures du Mans, l’équipe strasbourgeoise Pegasus Racing a souhaité lever un coin de voile sur un projet d’avant-garde : le développement d’un sport-prototype 100% électrique.
L’objectif de cette Ligier « zéro émission » est de s’approcher le plus possible des performances de la version « thermique » de la même voiture, que Pegasus Racing et son pilote Julien Schell ont hissée en pole position voici quelques mois à Magny-Cours…
En 2010, dans les paddocks, les membres du team se déplaçaient déjà, non pas avec de banals scooters, mais au guidon des « eTRICKS » développés par l’entreprise alsacienne IC Engineering.
Bridés à 45 km/h, ces deux-roues offrent une autonomie de 25 km et sont rechargeables grâce à une station d’énergie autonome solaire. Ce partenariat va être étendu afin de produire en totale autonomie l’électricité nécessaire à la vie de l’équipe sur les circuits du championnat. Une première !
La volonté du team d’œuvrer dans le sens d’un sport automobile responsable n’est donc pas nouvelle. Elle prend aujourd’hui un virage encore plus audacieux, avec l’annonce d’un nouveau projet, sur quatre roues cette fois !
Pour le mener à bien, Pegasus Racing a su mobiliser l’intérêt d’entreprises importantes, implantées en Alsace et disposant d’une technologie de pointe. Le soutien d’une personnalité aussi charismatique que Guy Ligier a également compté dans la décision de se lancer dans cette aventure.
Sport auto électrique : l’état des lieux
La raison d’être de Pegasus Racing est la compétition automobile, cette activité vieille de plus d’un siècle, dont la justification originelle est ni plus ni moins que de faire progresser la mobilité humaine. Plus vite, plus loin, avec davantage de sécurité… et aujourd’hui avec un minimum de rejets et donc un maximum de respect de l’environnement.
Seulement, pour l’instant, il n’existe pas de discipline automobile de haut niveau acceptant les véhicules électriques. L’ouverture vers l’hybride et les systèmes de récupération d’énergie cinétique est encore balbutiante, avec son lot de difficultés liées au coût, à la fiabilité et à la sécurité.
L’équipe continuera donc à vivre au présent et à lutter pour les podiums avec des autos répondant à la réglementation actuellement en vigueur en compétition… Mais avec le « plus » Pegasus : défricher, en parallèle, un possible futur du sport automobile.
La philosophie du projet de Pegasus Racing
« Nous voulions une voiture aussi proche que possible de l’originale » explique Julien Schell.
« Nous avons mené la Ligier JS49 au titre en Challenge Endurance Proto VdeV en 2008, et terminé vice-champions en 2009 avec la JS51. C’est ce modèle qui sera « transformé » en proto électrique. Ses performances avec l’habituel bloc Honda 2000 cm3 de 250 chevaux sont connues, nous pourrons donc effectuer des comparaisons valables. Une de nos premières décisions fut d’avoir recours à un moteur unique au centre de la voiture, un peu à contre-courant de la mode qui consiste à implanter un moteur à proximité de chaque roue motrice.
L’implantation centrale de la motorisation offre plusieurs avantages : réduire le risque de surchauffe dû à la haute température des freins, améliorer le centrage des masses, et accoupler le moteur à une boite de vitesses classique. Cette dernière solution permet d’exploiter le couple sur trois rapports et de conserver des ancrages de suspension arrière identiques.
Nous en maîtrisons parfaitement les réglages, un développement coûteux en temps et en budget sera ainsi évité. Le système de refroidissement est conservé car les besoins sont importants au niveau des batteries, de l’électronique de puissance et du moteur, d’ailleurs lui-même refroidi par eau.
Les batteries au lithium sont hyper performantes, rien à voir avec les batteries au plomb d’une voiture classique. Elles prendront la place du réservoir d’essence, entre moteur et pilote. »
Principales caractéristiques de la Ligier-Pegasus électrique
Le moteur délivre une puissance 145KW avec une tension de 375V DC, soit l’équivalent de 200 chevaux. La voiture d’origine pèse 650 kg. Le changement de propulseur, le remplacement du réservoir par les batteries au lithium 30KW devrait faire grimper le poids à 800 kg. Avec les batteries pouvant être installées dans l’évolution 1 de la voiture, une autonomie de 20 à 25 minutes représente le premier cap à atteindre.
A plus long terme…
La Ligier est en construction, elle sera développée lors d’essais privés, mais l’équipe profitera de la moindre opportunité pour en démontrer la crédibilité en public. Dans sa configuration de base, elle constituera déjà une avancée par rapport à d’autres initiatives du même type. Pegasus Racing a déjà sa petite idée sur les champs du possible à moyen terme, mais entend progresser par étapes.
« Il y a déjà beaucoup à apprendre et à faire avec ce dont nous disposons actuellement au niveau moteur, système électronique et batterie » assure Julien Schell. « Ceci dit, d’autres challenges nous attendent, notamment en ce qui concerne les changements de batteries dans un contexte d’endurance, les techniques de recharge… » Bienvenue au 21ème siècle !
Plus d’information: www.pegasusracing.fr
source: future racing

http://www.flagworld.com/nouvelles/?p=32216

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Mean Green, le camion hybride le plus rapide au monde

Fabriqué par une équipe de passionnés de Volvo Trucks, le Mean Green est un camion hybride, unique en son genre, qui fait appel aux technologies les plus en pointe du constructeur suédois en vue de battre le record du monde de vitesse du kilomètre départ arrêté au printemps prochain. Présentation du projet.

Camion hybride, le Mean Green a été fabriqué par une équipe de passionnés de Volvo Trucks qui espère ainsi battre le record du monde de vitesse du kilomètre départ arrêté (le camion doit parcourir une distance de 1 000 mètres dans un sens, puis dans l’autre, la vitesse moyenne des deux courses étant la performance officielle). Boije Ovebrink, son pilote, champion de course de camions suédois, déclare : « Je pense même pouvoir dire que le Mean Green est le camion hybride le plus rapide au monde. »
Pour comprendre pourquoi Boije Ovebrink affirme sa conviction avec un tel aplomb, il faut remonter à novembre 2007. Le pilote suédois vient alors de battre son propre record du kilomètre départ arrêté établi en 2001 dans la catégorie des camions d’une cylindrée maximum de 16 litres. Il a accompli cette prouesse en atteignant une vitesse moyenne de 158,829 km/h au volant de son Volvo NH16 rouge, également connu sous le nom de « The Wild Viking ». A la suite de cet exploit, Boije Ovebrink rencontre Staffan Jufors, Président et CEO de Volvo Trucks, et lui dit : « Je souhaiterais fabriquer le camion hybride le plus rapide au monde. » Immédiatement, le projet est approuvé et la planification du projet de camion hybride est mise en place. Toutefois, une équipe de course de camions tchèque déclare alors avoir battu le record de Boije Ovebrink. Comme il est hors de question d’en rester là, au printemps suivant, Olof Johansson, ingénieur chez Volvo, se met sérieusement au travail. Il se lance dans la fabrication d’un camion capable de battre le record nouvellement établi et pouvant également recevoir le système hybride de course sur lequel portait initialement le projet. Ce camion est baptisé « Mean Green » toutefois l’équipe décide de ne pas le doter du système hybride aussitôt. « J’ai commencé à fabriquer ce camion à partir de deux demi-châssis destinés à la casse. Quant à la cabine VN américaine, elle provenait d'un véhicule d'essai de chocs mais était parfaitement intacte », explique Olof Johansson.
Une vitesse de pointe de 260 km/h


Pour établir un nouveau record, il est absolument essentiel de réduire le poids du véhicule. A titre d’exemple, l’essieu avant est usiné par des experts de l’usine de moteurs Volvo de Skövde, passant ainsi d’un poids de 100 kg à 57 kg. Les pignons de la première vitesse sont, pour leur part, supprimés de la boîte de vitesses, ce qui permet d’alléger le camion de quelques kilos supplémentaires. « J’ai entaillé les faisceaux électriques et retiré les câbles inutiles. Cela a permis de gagner près de 6 kg », explique Olof Johansson. Quant à Jonas Sandström, designer chez Volvo, il passe de nombreuses heures à travailler sur son programme de CAO afin de mettre au point la forme aérodynamique optimale. « Il est important que le flux d’air soit correctement dévié de la carrosserie. Notre camion est différent d’une Formule 1 dans la mesure où, par exemple, ses propriétés aérodynamiques lui permettent de fendre l’air plutôt que d'être plaqué à la surface de la route », explique-t-il.
A seulement quelques jours de l’épreuve fatidique, l’équipe apprend que la FIA, l’instance internationale régissant l’ensemble du sport automobile, a invalidé le résultat de sa concurrente tchèque. Il n’est pas question pour autant d’annuler la tentative de record programmée. Boije Ovebrink et l’équipe Volvo comptent bien surpasser leur record de 2007. Leur objectif est atteint le 9 juin 2010. Un nouveau record du monde du kilomètre départ arrêté est établi avec une vitesse moyenne aller-retour de 166 km/h et une vitesse de pointe de l’ordre de 260 km/h. Une fois cette prouesse réalisée, l’équipe se concentre à nouveau sur ce qui était l’objectif premier de l’ensemble du projet. « Olof Johansson s’est remis immédiatement au travail. Le jour même où l’équipe a décroché son nouveau record, il a sorti sa boîte à outils et a commencé à modifier le camion pour en faire ce qu'il est aujourd'hui, à savoir un véritable hybride. »
Un groupe propulseur hybride de 2 100 cv


Emprunté à un camion FH, le châssis a été abaissé à 750 mm, alors que sa hauteur minimale habituelle est de 850mm. Il en résulte une garde au sol de 12cm. Quant à l’emplacement des prises d’air, il est inspiré des Formule 1 alors que les radiateurs sont montés en amont des roues arrière : l’un abaisse la température dans les échangeurs d’air de suralimentation, tandis que l’autre refroidit le moteur. Pour leur part, les pneus taille basse Goodyear qui ont été spécialement développés pour le Mean Green, offrent une adhérence maximum et ont été conçus pour pouvoir rouler à une vitesse maximum de 350 km/h.
Le camion est déjà équipé d’un moteur Volvo 16 litres classique D16G, implanté derrière la cabine pour une répartition optimale du poids du véhicule. D’une puissance initiale de 700 ch, il est associé à divers dispositifs dont un double turbocompresseur Volvo Penta, des injecteurs spéciaux (d’une capacité deux fois supérieure à ceux d’origine) et des pistons spécialement développés pour le Mean Green. Ce groupe propulseur, qui développe au final une puissance de 1900ch a été conservé. En revanche, la transmission automatique Powertronic allégée est remplacée par une version modifiée de la boîte de vitesses automatisée Volvo I-Shift afin que la transmission puisse interagir avec l’organe qui fait du Mean Green un véhicule hybride, à savoir son moteur électrique. « Ce moteur a permis d’accroître la puissance du véhicule de 200 ch et son couple de 1 100 Nm. Il en résulte une accélération extrêmement vive au démarrage et exempte du temps de réponse spécifique aux moteurs diesel. Ce camion est comparable à un bouchon de champagne, sauf au niveau du bruit. Durant les premières secondes, il émet seulement un léger sifflement jusqu’à ce que son moteur diesel, qui fonctionne avec un gazole à base de résine liquide renouvelable, commence à développer sa puissance. A ce stade, le camion a déjà atteint une vitesse de 60 km/h et je peux alors sélectionner le neuvième rapport », explique Boije Ovebrink.
Quand le Mean Green tentera-t-il de battre le record du kilomètre départ arrêté ? Au début du printemps prochain, dès que la neige aura fondu !

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Un prototype 100 % électrique développé en Alsace

L’écurie de course Pegasus Racing, basée dans le Bas-Rhin, travaille sur un projet avant-gardiste dans le milieu du sport automobile : le développement d’un prototype de course à propulsion électrique.
Après le Trophée Andros électrique (développé par Exagon), et la monoplace électrique (Formulec & Segula), Pegasus Racing s’est à son tour lancé dans un projet d’envergure. Sur la base d’un prototype Ligier JS51 - avec lequel Julien Schell et David Caussanel avaient terminé vice-champions du Trophée d’Endurance Moderne -, l’équipe bas-rhinoise va développer une voiture à propulsion électrique. Le moteur délivre une puissance 145KW avec une tension de 375V DC, soit l’équivalent de 200 ch.



Explorer des pistes pour le futur


La voiture d’origine pèse 650 kg. Le changement de propulseur, le remplacement du réservoir par les batteries au lithium 30KW devrait faire grimper le poids à 800 kg. Avec les batteries pouvant être installées dans l’évolution 1 de la voiture, une autonomie de 20 à 25 minutes représente le premier cap à atteindre.
Si aucune compétition officielle n’existe pour accueillir ce genre de véhicule, le prototype Ligier électrique servira surtout à explorer des pistes possibles pour le futur. Un engagement hors classement lors d’une ou plusieurs épreuves n’est pas à exclure.
« Il y a déjà beaucoup à apprendre et à faire avec ce dont nous disposons actuellement au niveau moteur, système électronique et batterie », assure Julien Schell. « Ceci dit, d’autres challenges nous attendent, notamment en ce qui concerne les changements de batteries dans un contexte d’endurance, les techniques de recharge… »



Double présence en course


Parrallèlement, l’écurie Pegasus Racing conservera une présence en compétition. Après deux saisons en Le Mans Series avec un prototype LMP2 Courage-AER (et une participation aux 24 H du Mans au volant d’une Norma-Judd), les Alsaciens poursuivent leur aventure au sein de l’élite de l’endurance. Avec leur châssis Courage éprouvé, propulsé cette fois par un moteur Honda : Julien Schell sera dans le baquet avec un équipier encore à désigner. À ses côtés, Pegasus engagera une deuxième voiture, un petit prototype de la catégorie Formula Le Mans, confiée à un équipage allemand : Patrick Simon et Mirco Schultis. Les cinq épreuves de 6 heures de Le Mans Series figurent au programme, ainsi que les 24 Heures du Mans si le comité de sélection de l’ACO retient la candidature de Pegasus Racing.
Cette structure familiale, articulée autour de Julien et Claude Schell, son père, s’est ainsi fixé un double challenge ambitieux. Et entend bien conjuguer sa passion au présent comme au futur.


le 16/02/2011 à 00:00

http://www.lalsace.fr/sport/2011/02/16/un-prototype-100-electrique-developpe-en-alsace

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